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Les solutions du gouvernement

Les îles qui composent qui composent ce paradisiaque archipel, qui n'est autre que Les Maldives, sont menacées de disparition du fait du changement climatique qui touche notre planète. Mais quelles sont les actions et/ou politiques mises en places sur place ? Le gouvernement fait-il abstraction ou fait-il face à la menace ?

 

 

UNE RESPONSABILITE LIMITEE

 

       Les Maldives, comme d’autres pays insulaires, subissent les changements climatiques. La  responsabilité de ses pays reste limitée. En effet, ce sont ces pays qui émettent le moins de  gaz à effet de serre en majeure partie. Les Maldives, ainsi que 38 autres pays insulaires  forment l’AOSIS (Alliance des petits Etats Insulaires) à l’origine, ensemble, de moins de 1%  des émissions de gaz à effet de serre mondiales totales.

 

 

L'APPEL A L'AIDE

 

       Ces petits pays insulaires, dont les PIB cumulés ne dépassent pas le quart du PIB français, se  retrouvent fort dépourvu face à la menace. Ils tirent alors la sonnette d’alarme et tentent d’attirer  l’attention des pays du Nord. Ce fut le cas d’ailleurs lors d’un conseil, des ministres maldiviens, très  atypique qui a eu lieu en 2009 et sous l’eau. Présidé par le président Mohamed Nasheed, ce conseil était à  l’image de la montée des eaux qui menace d’effacer Les Maldives. Aujourd’hui, c’est le ministre de  l’environnement maldivien, Abduallahi Majeed qui appel à l’aide international.

 

 

DES SOLUTIONS A HAUTEUR DE LEUR MOYENS

 

       Les Maldiviens on peu de pouvoirs face à la montée du niveau de la mer et  des océans. Ils ont donc trouvé le moyen de s’allier à d’autres pays insulaires pour faire bloc  et éviter d’être mis à l’écart. Et c’est Amjad Abdulla qui est chargé de la négociation lors de  la COP 21 pour ces pays.

 Sur l’archipel même on tente de sensibiliser les touristes, qui permettent la richesse de  l’Etat, et qui se comptent à 650 000 par an. On prône l’écotourisme avec l’usage d’énergies  renouvelables dans les hôtels, le recyclage de l’eau et des déchets. Mais aussi, la  construction des hôtels et lieux de vie en matériaux naturels. D’ici 2020, l’Etat s’est  également engagé à produire 60% d’électricité solaire.

 

 

L'INDC

 

       Les « INDC » ou La voie des contributions prévues et déterminées au niveau national.

 INDC est l'acronyme anglais pour "Intended nationally determined contribution" ou en  français : Contribution prévue  déterminée au niveau national (CPDN).
 Il s'agit d'une procédure destinée à préparer la conférence de Paris : chaque pays est invité  à publier les engagements qu'il pourrait prendre dans le cadre d’un nouvel accord sur le  climat.

 Cette procédure a plusieurs mérites : elle permet a chaque pays de prendre le temps de la  réflexion et de proposer une contribution qui correspond à ses moyens. Elle évite aussi les    jugements en laissant le temps aux experts et à la société civile d'évaluer et de consolider  toutes les propositions.

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